LATÉRALISATION

LATÉRALISATION
LATÉRALISATION

La notion d’asymétrie fonctionnelle hémisphérique, qui correspond dans le langage courant à celle de latéralisation, désigne les différences de fonctionnement entre les deux organes apparemment symétriques que constituent les deux hémisphères cérébraux. Il faut distinguer deux classes de fonctions: celles qui entraînent une asymétrie comportementale malgré la symétrie des organes, comme dans les rôles différents des deux mains, et celles qui, comme le langage, ne correspondent pas à des comportements latéralisés. Dans l’un et l’autre cas, on s’interroge sur les critères de cette asymétrie, sur sa répartition dans l’espèce, sur son origine, son développement et ses conséquences dans la pathologie.

La latéralisation manuelle

Les différences fonctionnelles entre les deux mains sont évidentes et ont toujours été l’objet de normes sociales. On sait depuis longtemps (notamment par l’étude des paralysies consécutives à des lésions cérébrales) que les voies nerveuses qui contrôlent les mouvements des membres sont croisées, de telle sorte que c’est l’hémisphère gauche qui commande la main droite ou, comme on dit souvent, la main habile. Le fait que les usages de la main soient «normés» dans toutes les sociétés rend complexe l’évaluation de l’incidence de la gaucherie et même sa définition. On sait maintenant que la distribution statistique de la préférence manuelle pour différentes activités est bimodale. Si l’on tient compte d’une variété suffisante d’activités qui puissent être effectuées de l’une ou de l’autre main, et qui soient différemment soumises au contrôle de l’environnement social (par exemple: tenir son couteau, une raquette, écrire, gratter une allumette, se brosser les dents, distribuer des cartes), on trouve, d’un côté, un mode correspondant à l’effectuation par la main droite de toutes les activités considérées; à l’autre extrémité de la distribution, le mode correspondant aux gauchers extrêmes (de 6 à 10 p. 100); entre ces deux modes, une distribution apparemment continue de personnes moins nettement latéralisées. Il faut noter que la distribution n’est pas identique pour les deux sexes: on trouve plus d’hommes gauchers extrêmes et plus de femmes moins nettement latéralisées.

On s’est longtemps demandé si la préférence manuelle était due à un effet de diffusion sociale ou si elle était contrôlée par des facteurs génétiques. On s’accorde maintenant, devant la convergence des données, à considérer que les influences de l’environnement social ne rendent pas compte de l’ensemble des faits de latéralisation, mais qu’elles jouent un rôle important et peuvent expliquer les variations historiques que l’on soupçonne. Toutefois, on a pu établir par l’examen de stries microscopiques sur des poinçons paléolithiques (datant du Clactonien, face=F0019 漣 250 000 ans) que ceux-ci avaient tourné dans le sens des aiguilles d’une montre, et avaient donc été utilisés par des droitiers (on a cependant trouvé au moins un poinçon plus tardif ayant tourné dans l’autre sens), ce qui témoigne de l’antiquité de la latéralisation manuelle chez les hominiens. L’étude archéologique des documents figurés confirme ce fait. Les pressions sociales ne créent donc par la dominance manuelle, mais elles peuvent contraindre les sujets moins clairement latéralisés dans le sens de la droiterie; peut-être y a-t-il d’autres effets moins clairement expliqués, comme semblent le montrer les études récentes sur les aphasies chez des sujets analphabètes qui paraîtraient indiquer des troubles plus proches de ceux qu’on observe chez les sujets peu latéralisés quant au langage.

Il est important de distinguer deux manières de définir la latéralisation manuelle. L’une s’intéresse à la main préférée dans des tâches unimanuelles et est liée aux notions de dominance ou d’habileté: on compare la performance de chacune des mains dans la même activité. L’autre considère l’attribution de rôles différents aux deux mains et leur coordination: l’exemple le plus clair est celui de l’épluchage d’un fruit; l’une des mains, la gauche en général, présente à la droite les places où elle doit intervenir; dans ces cas, échanger les rôles perturbe les performances de chacune des mains. Cette complémentarité relève éventuellement de contrôles fonctionnels différents de ceux qui sont impliqués dans les tâches unimanuelles.

On a longtemps cru que l’asymétrie fonctionnelle des deux mains ne s’établissait que lentement et qu’elle relevait ou d’une longue maturation, ou d’apprentissages, la stabilité des préférences ne s’établissant qu’à la fin de la scolarité primaire. On sait maintenant qu’il n’en est rien et que le problème est plus complexe. On trouve dès la naissance des comportements latéralisés qui ont une valeur prédictive pour la latéralisation manuelle ultérieure. Ainsi, 90 p. 100 des nouveau-nés tournent la tête vers la droite, après qu’elle a été maintenue quelques dizaines de secondes dans le plan médian; vers la vingt-quatrième semaine, pour atteindre un petit objet présenté sur un plateau, une proportion analogue d’enfants placent la main gauche sur le bord du plateau et la droite glisse alors vers l’objet, ce qui manifeste la première forme de coordination. Un grand nombre de données actuelles établissent de tels effets de latéralisation qui apparaissent indépendants des influences de l’environnement. Cela n’est d’ailleurs pas incompatible avec le fait que certains usages des mains ne manifestent une latéralisation stable que tardivement et que les enfants puissent donc apparaître ambidextres pour certaines activités jusqu’à l’âge de trois ans.

L’asymétrie des rôles des deux mains est si manifeste et si socialement réglée (le salut, l’écriture, par exemple) qu’on a attendu longtemps pour s’intéresser à la possibilité d’autres formes d’asymétrie et au problème de leurs corrélations. L’intérêt pour ce problème de la cohérence, à l’intérieur du sujet, des asymétries comportementales s’est développé après que Orton (1934) eut cru pouvoir relier les difficultés de l’apprentissage de la lecture et de l’écriture à des anomalies de latéralisation (actuellement, cette thèse n’est pas confirmée, même s’il semble que certains troubles de l’acquisition du langage puissent être reliés à la gaucherie).

On a étudié les asymétries pour l’utilisation des pieds (frapper dans une balle, monter sur un tabouret) et des yeux (viser d’un seul œil, regarder par une petite ouverture). Dans le cas des pieds, on observe une corrélation positive, mais peu élevée, avec la latéralité manuelle; chez le nouveau-né, il y a une corrélation élevée entre le placement du pied et le côté vers lequel l’enfant tourne la tête. Pour les yeux, il semble que 65 p. 100 des sujets utilisent l’œil droit en vision monoculaire, mais il n’est pas établi que cette asymétrie soit liée à l’asymétrie manuelle. On peut noter qu’une distribution analogue existe pour le croisement des bras et le croisement des doigts: ces comportements sont stables et bien latéralisés, avec une proportion de 60 p. 100 de croisement main gauche sous bras droit et pouce droit sous pouce gauche, mais il n’y a aucune corrélation entre les deux distributions, chaque sujet droitier de la main pouvant, avec une probabilité 0,6, présenter indépendamment l’un ou l’autre comportement. On ne peut attribuer à une même cause toutes les formes d’asymétries observées au niveau des comportements manifestes des organes doubles, d’autant moins que chacun de ces comportements obéit à des contraintes différentes de l’environnement.

Asymétries des fonctions centrales

Modes d’études

La préférence manuelle est si bien établie que, pendant longtemps, on ne s’est guère interrogé sur le fait qu’elle impliquait non seulement une dissymétrie des interactions avec l’environnement dans un organisme grossièrement symétrique, mais aussi une asymétrie du contrôle hémisphérique: si la main droite a des fonctions différentes de la main gauche, il doit en être de même de l’hémisphère gauche par rapport à l’hémisphère droit. Il a fallu attendre Broca (1861, 1865) et Dax (à la même époque) pour que deviennent manifestes la relation entre les lésions de l’hémisphère gauche et les aphasies , ainsi que les relations entre hémiplégie droite et aphasie. Le langage est alors apparu comme une fonction dont le contrôle était assuré par, ou principalement par, l’hémisphère gauche, qui allait ainsi être considéré comme dominant .

Les travaux sur les différences fonctionnelles entre les hémisphères ont d’abord été exclusivement anatomo-cliniques, car on ne disposait d’aucune technique permettant l’étude, chez le sujet normal, des asymétries fonctionnelles qui n’avaient pas leur traduction dans une asymétrie comportementale. À partir de la seconde moitié du XXe siècle, on a vu se développer ou apparaître des techniques permettant d’étudier les asymétries fonctionnelles hémisphériques chez le vivant normal ou lésé: d’abord, les techniques électrophysiologiques (électroencéphalogramme et enregistrement des potentiels évoqués corticaux); ensuite, en neurochirurgie, le test de Wada, qui, par une injection intracarotidienne unilatérale d’amytal sodique, interrompt momentanément les fonctions de l’hémisphère ipsilatéral à l’injection et permet de connaître quel hémisphère contrôle le langage; et aussi, la stimulation électrique directe du cortex vigile, technique exploratoire préopératoire. Méthode plus récente, la tomographie traitée par ordinateur permet d’obtenir des images non seulement par la radiographie classique, mais aussi au moyen de différents traceurs atomiques: on peut ainsi, d’une part, recueillir, des données sur la morphologie différentielle des deux hémisphères et parvenir à des localisations chez le vivant, d’autre part, acquérir des données différentielles, en cours de fonctionnement, par la visualisation des répartitions instantanées du débit sanguin ou de la consommation de glucose liées à l’activité neuronique.

Une autre méthode importante pour l’étude de l’asymétrie fonctionnelle chez le vivant est celle des sections chirurgicales du corps calleux, qui ont pour conséquence une déconnexion des deux hémisphères corticaux (split brain ), rendant indépendants leurs fonctionnements respectifs.

Enfin, on a trouvé comment adapter les techniques de psychologie expérimentale en vue de comparer les performances des deux hémisphères dans le traitement des informations. Pour la vision, le problème est relativement simple, car l’organisation des voies visuelles fait que les hémirétines nasale droite et temporale gauche, correspondant au champ visuel droit, se projettent dans l’hémisphère gauche (inversement, les deux autres hémirétines correspondant au champ visuel gauche se projettent dans l’hémisphère droit); les stimuli présentés à quelques degrés du centre (fovéa) atteignent d’abord leur hémisphère correspondant et ne parviennent à l’autre que par le relais du corps calleux. Il en est de même pour les voies tactiles de la main droite et de la main gauche, mais le problème est un peu plus complexe pour les voies auditives; pour celles-ci, la technique consiste à rechercher, en présentant simultanément des séquences de stimulus différents à chacune des oreilles, quel est le côté qui obtient la meilleure performance (Kimura, 1961).

Le langage

Les données anatomo-cliniques ont mis en évidence le rôle des lésions gauches, et l’importance de leur emplacement, dans l’apparition des différentes formes d’aphasies, ce qui souligne le rôle du contrôle de cet hémisphère dans la production ou la perception et la compréhension du langage. En outre, pour la lecture, on a depuis longtemps montré une supériorité de l’hémichamp visuel droit, donc de l’hémisphère gauche, même si cette supériorité peut être partiellement masquée par les habitudes de lecture dans les langues sémitiques, où le balayage oculaire s’exerce de droite à gauche. Kimura et à sa suite beaucoup d’auteurs ont remarqué l’existence d’une supériorité de l’oreille droite dans la perception auditive de mots ou de sons linguistiques. Cette supériorité de l’oreille droite est déjà présente chez l’enfant dès les premières semaines après la naissance. On peut donc dire que l’hémisphère gauche exerce un contrôle sur l’émission et la réception du langage.

À l’appui de l’universalité, dans l’espèce humaine, de cette dominance hémisphérique gauche, on invoque aussi l’existence de différences dans la morphologie des hémisphères: des régions dont la lésion entraîne des aphasies se trouvent plus développées dans l’hémisphère gauche que dans l’hémisphère droit (planum temporale ), et cela dès la vie fœtale.

Toutefois, on ne saurait conclure aussi directement à une liaison totale entre l’hémisphère gauche et le langage. Dans un très petit nombre de cas de sujets droitiers manuels, et pour environ 30 p. 100 des cas chez les gauchers, une lésion de l’hémisphère droit entraîne des troubles aphasiques; le test de Wada confirme ces proportions de la représentation droite du langage. En outre, pour un nombre assez important de sujets qui sont gauchers ou mal latéralisés de la main, les troubles du langage postlésionnels semblent permettre une meilleure récupération.

D’autre part, les aphasies consécutives à des lésions de l’hémisphère gauche dans l’enfance permettent des récupérations nettement meilleures que celles qui surviennent dans l’âge adulte. On a donc été amené à considérer que l’hémisphère droit possédait aussi la capacité de contrôler le langage et à parler d’équipotentialité hémisphérique. Ainsi, après des lésions précoces de l’hémisphère gauche, particulièrement lorsqu’elles surviennent dans la première ou les premières années de la vie, l’hémisphère droit prendrait en charge le langage de manière complète. Il en va peut-être de même aussi dans le cas d’amputation précoce du bras droit.

L’étude des sujets sur lesquels on a pratiqué la section de leur corps calleux montre que leur hémisphère droit, alors déconnecté de l’hémisphère gauche, possède une certaine capacité langagière, limitée à une appréhension globale et affective. Les travaux sur l’écoute dichotique montrent aussi que les aspects prosodiques ou mélodiques du langage peuvent être mieux traités par l’hémisphère droit.

On est donc amené à conclure que l’hémisphère gauche apparaît bien, dans l’espèce humaine, contrôler le langage, mais que cela n’exclut ni la participation de l’hémisphère droit à cette capacité, ni l’existence d’une équipotentialité, qui apparaît dans la plasticité des organisations substitutives.

Les informations spatiales et la reconnaissance des visages

On observe, à la suite de certaines lésions de l’hémisphère droit, différents troubles de l’organisation spatiale: une perte de la mémoire topographique, une incapacité d’effectuer certains parcours locomoteurs ou de suivre un labyrinthe avec un stylet, ainsi que des désorientations spatiales. De même, si l’on observe des troubles du calcul dans les lésions gauches, comme dans les lésions droites, ces troubles ne sont pas identiques dans les deux cas: ils portent, dans le premier, sur une incapacité d’effectuer les opérations, dans le second, sur la place ou les termes auxquels les opérations doivent être appliquées. On observe aussi dans les lésions droites certaines apraxies, telles que l’apraxie de l’habillage; enfin, certaines autres lésions s’accompagnent d’un trouble de la reconnaissance des visages.

Chez les sujets dont les hémisphères ont été déconnectés par la section du corps calleux, on observe une supériorité de l’hémisphère droit dans l’identification de formes: pièces manquantes dans un puzzle, appariement de la représentation perspective d’un solide et de sa forme développée. Cela conduit à penser que l’hémisphère droit est particulièrement disposé pour le traitement des informations spatiales et des opérations de transformation sur des formes et relations spatiales.

On a montré chez le sujet normal un avantage de l’hémichamp visuel gauche dans la reconnaissance des visages, particulièrement lorsque celle-ci ne se réduit pas à un simple jugement d’identité-différence, mais implique de traiter les expressions. On a montré aussi, en faisant juger par différentes techniques les valeurs expressives des hémifaces gauches et droites, que les expressions émotionnelles étaient plus fortement marquées du côté gauche du visage, au moins à partir de la seconde année de la vie. L’hémisphère droit apparaît donc comme étant particulièrement destiné au contrôle des manifestations affectives et de la reconnaissance des visages.

Traitement global et analytique

Les études sur les différences dans le traitement des informations par l’hémisphère gauche ou par l’hémisphère droit ont amené à opposer des formes différentes de processus. Ainsi, dans l’écoute dichotique, on avait d’abord observé un avantage de l’oreille droite pour les sons liés au langage et, en revanche, un avantage gauche, ou une absence de différence, pour les bruits, les chants d’oiseaux ou la musique. Toutefois, dans ce dernier cas, avec des sujets musiciens, on a observé un avantage de l’oreille droite. De même, lorsqu’on présente en écoute dichotique des syllabes introduites par une consonne occlusive, on obtient un avantage de l’oreille droite, mais, si on ralentit, dans des sons produits artificiellement par un ordinateur, la durée de la consonne, l’avantage de l’oreille droite disparaît. Dans le cas des visages, un traitement simple en même-différent fait disparaître l’avantage de l’hémichamp visuel gauche, et un jugement sur la qualité émotionnelle de la parole l’avantage de l’oreille droite. On est donc amené à envisager une répartition plus complexe des tâches entre les deux hémisphères, qui se traduirait par des formes différentes de traitement de l’information, sans que l’on ait pour autant à remettre en cause les faits majeurs concernant la relation au langage et à l’espace.

De même, on a été amené (Kinsbourne) à proposer que puissent apparaître des différences liées à la répétition des tâches à un moment donné, selon une organisation dynamique variable.

Les données sur le fonctionnement que commencent à apporter l’électrophysiologie et la tomographie montrent en effet que, si dans une tâche verbale l’hémisphère gauche apparaît plus engagé, cela n’exclut pas l’existence d’une activité des régions correspondantes de l’hémisphère droit.

On peut donc conclure que, si les grandes lignes de la spécialisation hémisphériques sont bien établies, beaucoup de questions demeurent encore ouvertes en ce qui concerne le fonctionnement et la coordination entre les deux moitiés du cerveau.

latéralisation [ lateralizasjɔ̃ ] n. f.
• 1968; d'apr. latéral
Didact. Organisation, pendant la petite enfance, de l'asymétrie fonctionnelle du corps humain du côté droit (droitiers) ou gauche (gauchers) liée à la spécialisation des hémisphères cérébraux. Latéralisation à gauche.

latéralisation nom féminin Spécialisation progressive, au cours de la petite enfance, de chacun des hémisphères du cerveau dans leurs fonctions respectives.

latéralisation
n. f. établissement progressif, dans la petite enfance, de la prédominance d'un hémisphère cérébral (généralement le gauche) sur l'autre.

latéralisation [lateʀalizɑsjɔ̃] n. f.
ÉTYM. Mil. XXe; par un verbe virtuel latéraliser. → Latéralisé.
Didact. Organisation entre trois et six ans de l'asymétrie du corps du côté droit (droitiers) ou gauche (gauchers) liée à la localisation des fonctions du langage; processus aboutissant à la latéralité. || La latéralisation à gauche est souvent héréditaire.

Encyclopédie Universelle. 2012.

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